Ateliers, stages, temps forts, célébrations festives, master classe, exposition, restitutions,
à l'initiative de l'École d’art de Douai et du Non-Lieu.
Résidence du céramiste Hervé Rousseau (juin – septembre 2021), entouré de 5 autres artistes de différentes disciplines (Jean-Charles Farey/dessin et céramique, Frédéric Tentelier/son, Louise Gros/dessin, Jean-Claude Legrand/céramique, Yves-Vincent Davroux/photo), pour extraire et exprimer l’identité forte de ce site chargé d’histoire.
À l'École d'art de Douai :
Exposition du 17 septembre au 10 octobre, vernissage le 16 septembre à 19h.
À la Tuilerie-Briqueterie de Râches :
les 18-19 et 25-26 septembre, une deuxième exposition est visible
à l'occasion des Journées Européennes du Patrimoine.
Retrouvez la série Lichens en découvrant le numéro 4 de la revue Ver(r)ue, disponible ici.
Également au sommaire:
Jean Arnaud, Simøné, Guillaume Clerc & Lisa Eymet, Pierre Courcelle,
Anaël Castelein, David Gommez, Johan Grzelczyk, Jérémy Liron, Pascal Pesez,
Éric Plancke, Anne Pons, Raphaëlle Giaretto, Alexios Tjoyas, Alexis Trousset.
L'éclat fou des c(e)rises est une exposition itinérante confiée de la main à la main/à la boîte aux lettres.
La circulation de cette exposition prendra fin avec le retour de la saison du soleil au cœur -en juin ?- et me sera réexpédiée à ce moment-là.
La série compte une trentaine d'éléments, réalisées à partir d'une gravure de Hendrick GOLTZIUS, Repos en Égypte sous un cerisier, à partir desquels j'ai constitué trois ensembles de onze peintures qui se déplaceront parallèlement.
Informations ici.
Une version numérique du catalogue des expositions Nature morte contemporaine est disponible ici.
Découvrir l'article consacré à l'exposition par pointculture : ici
En partenariat avec le musée départemental Matisse au Cateau-Cambrésis et dans la continuité de l'exposition présentée dernièrement au Palais des Beaux-Arts de Lille, l'inventaire propose exceptionnellement au prêt 20 planches du livre Jazz, issues d’une édition en fac-similé, publiée en 2013 par les Editions de la Martinière et confiée temporairement par le musée.
A l’occasion de cet hommage, le dimanche 10 février, l’inventaire a choisi de mettre en lumière deux artistes de la collection, Bernard Bouton et Jean-Charles Farey, pour lesquels les œuvres de Matisse ont eu une résonnance particulière dans leur pratique.
plus d'informations: https://linventaire-artotheque.fr/?page=actu&actu_id=2
LES TABLEAUX FANTOMES DE BAILLEUL
En 2013, sur les murs du musée de Bailleul, Luc Hossepied, directeur de La plus petite galerie du monde [OU PRESQUE], découvre 31 cadres dans lesquels sont exposées des descriptions d’inventaire faites en 1879 par le conservateur du musée Édouard Swynghedauw et qu’avait exhumées Laurent Guillaut en étudiant l’histoire et les collections du musée amand dont il préparait la renaissance. Ces œuvres détruites en mars 1918, lors du bombardement de Bailleul, inspirent à Luc Hossepied une idée «folle». A l’occasion de la commémoration de la Première Guerre Mondiale il demande à des artistes d’aujourd’hui de réinterpréter un de ces tableaux-fantômes. Novembre 2018, la Piscine, accueille, pour la neuvième et dernière étape, les 93 œuvres contemporaines qui ressuscitent à leur manière le passé.
Pour la dixième édition de Small is beautiful, 100 artistes ayant déjà participé ont produit une œuvre de format 10x10 cm. Les œuvres originales sont exposées et, pour l'occasion, une édition 10x10 est présentée en série limitée à 250 ex. numérotés.
Exposition conjointe avec Philippe Gourier.
La plus petite galerie du monde (OU PRESQUE), 69 rue des Arts à Roubaix.
En juin, le mur de l’inventaire se transforme en atelier pour vous partager les recherches et explorations plastiques de l’artiste Jean-Charles Farey, en lien avec la résidence de création qu’il vient d’achever.
Invité à l’école d’art de douai d'avril 2017 à mars 2018, l’artiste s’est immergé et nourri de la vie de l’école, ses abords le long de la rive, ses réserves avec ses dessins d’études ou peintures délaissés, mais aussi ses interactions avec les formateurs et élèves, pour y puiser la base plastique et poétique de son travail.
A partir de jeux d’associations entre toutes les formes et couleurs rencontrées, se dessine un nouveau répertoire de motifs, auquel se mêlent les souvenirs de l’artiste ou encore ses lectures… et s’épanouit l’imagination : orange, épluchures, spirale, serpent, barque, coquille, noix, noyau, tuyau, moi-peau, enveloppe, vase, terre, crypte…. Bienvenue dans les pérégrinations de Jean-Charles Farey !
Durant un an -d'avril 2017 à mars 2018- des travaux sont réalisés sur place au fil des saisons.
L'école et ses abords seront observés dans les jeux de lumière et reflets offert par la Scarpe.
En résidence à l'Ecole d'art de Douai depuis avril 2017 et jusqu'à mars 2018.
Une exposition présentera le fruit du travail réalisé au printemps prochain, vernissage le 22 mars 2018.
Plus d'informations ici